jeudi 24 avril 2014

Gaou ou Gnata, Pardonner

On dit premier *Gaou n'est pas Gaou. C'est deuxième Gaou qui est *Gnata...

Je reprends les premières paroles de cette chanson emblématique de #MagicSystem qui a fait vibrer petits et grands, d'Abidjan a Paris.

Le son était tellement bon et la fin si heureuse pour notre Héros A'salfo qu'en chantant, il ne s'est pas attardé sur le *goubai goubai qu'il a vécu a l'issu de l'abandon de sa dulcinée. Il s'agit de la chérie Antou qui en fait n’était qu'une opportuniste, une profiteuse.

Ce qui est chic dans cette histoire de Gaouasie amoureuse (permettez moi l'expression :d ), c'est que c'est rira bien qui rira le dernier. Celui qui croit bien faire en trompant l'innocent fini tôt ou tard par se repentir... C'est faux?

Je ne sais pas vraiment pourquoi mais c'est toujours comme ça que ça se passe.
Et lorsque l'heure du repentir de l'autre arrive, nous sommes face a deux choix. Pardonner et le reprendre ou bien le refouler gentiment.

Attention!!!

Car dans ce cas tu pourrais devenir *yata et la chute serait encore plus dure!

A tous ceux qui ont eux le cœur brisé, il n'y a aucune parole assez réconfortante. Faites votre deuil et reprenez vous en main. La vie et ainsi faite.

Etre *yata en amour ça fait doublement mal. Mais au bout du voyage il n'y a plus aucun doute. On sais qu'on a tout essayé et que ce n’était surement pas la bonne personne. C'est mieux que de rester sur sa faim et se reposer toujours les mêmes questions non?

En tant qu'ex-Yata et chrétienne je pardonne a ceux qui me font mal. et je remet ma peine a Dieu. Il guérit vraiment les cœurs brisés mieux que n'importe quel psychologue.

Ce qu'A'salfo ne dit pas c'est qu'au delà du temps qui passe et des retournements de situations qui s’opèrent dans nos vies, la première étape pour avancer après les ravages de l'amour, ou toute autre blessure interieure c'est: pardonner...


Et je vous laisse avec cette Chanson de Kevin Levar #AheartThatForgives.
Soyez soulagés et recevez la paix que Christ donne...


lundi 21 avril 2014

Chut!

Chut! Silence!
Je pense.
A comment me remplir la panse
Non! Silence!
Ce n'est pas tant question de pitance!
Mais de liberté, d’utilité
A la société
Elle se plaint, de notre fuite
Si je part mon cerveau me suit
Car ici les portes restent closes
Moi, la voix rauque,
Fatiguée de crier mes maux
Oh changement a quand viendras-tu?
Moi je veux du boulot.